Bonjour, j’ai déposé mon inscription de gendarme adjoint volontaire et je souhaiterai savoir si l’enquète de moralité pose problème concernant des groupes politiques passés, j’ai été membre de certaines organisations mais n’ai ni TAJ ni casier judiciaire, et jamais controlé en manifestation dans ces organisations, j’aimerai savoir si cela pouvait poser problème lors de l’enquète de moralité si je suis honnete et que je ne suis plus en accord avec ces dernières
Merci de vos réponses
Je pense que tant que tu n’as jamais eu de « problèmes » avec la justice et que tu t’es tenu à carreau y’a aucun soucis à avoir quelque soit ton bord politique.
Dois-je en parler si on me demande si on me demande si actuellement je suis encarté politiquement bien que je ne le sois pas? J’ai peur que cela passe par un mensonge par omission si on me demande si « actuellement » je suis politiquement engagé
Je ne pense pas qu’ils te le demanderons
Si tu étais refusé par rapport à ça ce serait de la discrimination car il s’agit d’un des critères de discrimination (opinion politique).
En revanche attention au devoir de réserve lorsque tu seras gendarme.
N’en parle pas, ils ne demanderont pas.
Bonjour à tous,
Je suis inscrite au concours SOG externe. Ça a toujours été mon rêve de gosse de rejoindre la gendarmerie, ça n’a jamais vraiment quitté mon esprit. Seulement voilà, je me suis séparée de mon ex il y a quelques mois et la séparation a été chaotique… Il m’a harcelé, a harcelé ma famille, j’ai dû déposé plainte et changer d’adresse et de numéro; il a agressé mon nouveau compagnon (10j d’ITT il a déposé plainte contre lui), a fait une plainte mensongère à son encontre (classé sans suite) et a perdu la garde de notre enfant commun. Il m’a fait vivre un enfer.
On m’a dit que ça ne pourrait sûrement pas passer niveau enquête de moralité. Je voulais avoir vos avis : est-ce que d’après vous ça peut passer ? En sachant que je n’ai plus aucun contact avec lui, que je n’ai rien à me reprocher niveau pénal et ailleurs…
Est-ce que certains d’entre vous ont été dans cette situation ?
Merci d’avance pour votre réponse ! Bonne chance à tous pour vos concours
Attention aux doubles sujets merci.
Salut ,
Dans la mesure où tu as été la victime dans cette histoire , je ne vois pas pourquoi tu aurais quelque chose à te reprocher . Sache qu’il faut avoir été condamné par la justice pour être inéligible . Mais tu n’as rien à te reprocher . C’est plutôt ton ex qui devrait avoir quelque chose à se reprocher d’après ce que j’ai compris …
Donc passe ton concours tranquille et pas d’angoisse inutile !
Bon courage à toi
Merci beaucoup pour ta réponse. Ça me rassure un peu… le gendarme qui m’avait alerter m’a dit que certain avait été recalé pour moins que ça (père alcoolique qu’il ne voyait plus depuis 20 ans par exemple)…
Est-ce que je dois l’évoquer lors de l’oral pour rassurer les recruteurs ou bien ne pas en parler ?
Bonne soirée à toi
Non , ne l’évoque pas à l’oral . Cela ne sert à rien . Tu en parles uniquement si ils t’en parlent mais sinon cela ne servirait à rien d’aller desservir sa candidature inutilement pour une chose dont tu n’es même pas responsable ! Et puis ils recaleraient tout le monde dans ce cas là , car personne n’est parfait ! Donc tant que tu n’as pas de casier ou d’antécédents judiciaires en tant que mis en cause , tu es tranquille !!
Juste pour une histoire de père alcoolique ?? À mon avis , il y avait une histoire de casier judiciaire derrière ! Car si tu as des proches qui ont un casier judiciaire , ils vont quand même se poser quelques questions …
Merci pour ta réponse 
Un proche qui a un casier judiciaire peut aussi nous desservir ?
(Pas mon cas)
Oui ; si la personne est vraiment proche de toi ! Il y aura une enquête un peu plus approfondie mais ça reste du cas par cas !
Je me demandais, tu as quelques exemples précis à donner ou bien c’est simplement ce que tu penses de la situation?
Parce qu’il y quand même un entretien avec un psy, et cacher ce genre d’épisode, qui ressortira lors de la consultation du TAJ vraisemblablement, ça risque de poser quelques questions…
Oui mais dans son cas elle est victime et non mise en cause . Cela paraît logique ! Et l’entretien avec le psy n’est pas systématique ! Donc je ne vois pas pourquoi elle serait refusée … Et oui , un gendarme chargé du recrutement m’a expliqué que le motif de refus suite à l’enquête de moralité est surtout une mention dans ton casier judiciaire !
Une victime, certes, mais qui peut être marquée par cette expérience, qui laisse probablement des traces et peut influencer des prises de décision. Ce n’est pas anodin dans un métier qui nécessite une prise de recul dans des situations de VIF par exemple.
Le cacher peut donc poser question…
Oui , je vois ce que tu veux dire . Peut être au niveau de la fragilité psychologique ! Effectivement je pensais plus au TAJ et à tout ça mais l’aspect psychologique est important dans ce métier où il faut avoir un mental d’acier !
et pour le concours SOG, passage devant un psy pour tout le monde…
Relis sa phrase d’intro 
Ok ! Je n’avais pas fait attention ! Je pensais que c’était pour gav apja ! Autant pour moi alors …
Effectivement, je me disais qu’évoquer le sujet avec les recruteurs pourrait garantir ma transparence et le fait que j’ai fais la paix avec cet épisode de ma vie. J’ai pris du recul avec ça et je me suis même autorisé à en discuter avec des professionnels compétents pour évacuer et il n’en ressort rien d’inquiétant. Je ne vis pas dans la peur et ne suis pas traumatisée. Au contraire, j’aimerai en faire une force pour mon futur métier