Salut, pour ma part en tant que GAV bien-sûr, dans mon logement en colocation à 3, dans ma chambre j’ai 1 lit, 1 armoire, 1 table de chevet, 2draps, 2couettes (qui gratte), et un traversin en plus…
Pour ce qui est de la cuisine mes colocs, avaient déjà beaucoup mais usées alors j’ai ramener des casseroles, des verres, et j’ai également ramener des couverts et assiettes…
Pour ce qui est TV,WIFI ect… dans ma chambre pas de prise pour la TV, le wifi était déjà installé avant que j’arrive part un autre GAV.
Voilà en gros, si tu veux plus de détails n’hésite pas en PV
Bonjour, voilà, moi je pars en unité en collocation avec un gars avec qui je devrais partager le coin cuisine, salon mais aussi la salle de bain et les WC !. Donc les collocations mixtes existent, alors que je croyais que ce n’était pas autorisé. C’est un peu gênant mais il va falloir s’y faire
Je suis étonné ! A confirmer mais je crois que c’est justement pour éviter ce genre de situation, mais pas que, qu’il y a des places femmes et des places hommes lors de l’amphi d’affectation.
Comme l’a dit @Tac, fixez des règles bien précises, si besoin vous les faites approuver par un camarade d’active et/ou CB / CBA et vous les mettez sur papier.
C’est une source à problèmes ce genre de situation.
Cela fait 1 an que le colocataire a l’appart pour lui tout seul. J’espère donc qu’il va changer ses habitudes et que cela va bien se passer, mais c’est sur que je vais pas être à l’aise même si il parait sympa et je voudrais pas passer pour une « chiante ». Cela me stress un peu, j’aurais préférer être avec une fille. On verra, je vous tiens au courant.
Bonjour, je voudrais savoir si nous somme affecter loin de notre famille, comment sa se passe pour les voir ? Est ce qu’on a droit de partir loin de la caserne pendant nos 2 jours de repos par semaine ?
Bien sûr que tu as le droit. A lire beaucoup de commentaires on a l’impression qu’une fois affecté en unité on est complètement coincé mais ce n’est absolument pas le cas. En brigade tant que tu n’es pas PAM, tu es libre de faire ce que tu veux de ton temps libre.
Ce n’est pas tout à fait exacte, on ne peut pas faire ce que l’on veut. Lorsque tu es PAM tu dois obligatoirement être complètement disponible. C’est à dire dans ton appartement avec toutes tes affaires prêtes pour partir en 5 minutes. Le reste du temps en QL ( entre midi et deux, soir, ou parfois demi-journée ) tu ne peux pas te permettre de partir à des kilomètres de ton appartement. Tu dois rester disponible au cas ou un gros imprévu surviendrait. Ce n’est évidemment presque jamais le cas mais tu dois rester mobilisable. Tu auras donc 2 jours de repos par semaine ( ou 4 toutes les 2 semaines) ou tu pourras rentrer chez toi. Sans compter les jours de permissions qu’il suffit de poser quelques semaines en avance.
@Sebastien a raison dans les principes. J’ai déjà vu un opj se faire appeler pendant son repos. Étant parti loin il ne pouvait pas être présent, la brigade a donc du faire sans lui et il n’a pas été sanctionné. Cependant tu es donc susceptible d’être appelé à tout moment pour un événement grave : une attaque terroriste, une catastrophe naturelle importante… Mais ton cb te donnera normalement l’autorisation de rentrer chez toi pendant tes jours de repos sans problème.
Sur ce forum principalement…
Il n’y a qu’à voir le commentaire ci-dessus qui dit « ton cb te donnera normalement l’autorisation de rentrer chez toi »…Je rentre chez moi de temps en temps en QL le soir pour faire une coupure quand je bosse 10 jours d’affilée (j’ai la chance d’habiter à 35km de la brigade) et systématiquement lors de mes jours de repos et il ne m’a jamais été dit de demander l’autorisation à mon commandant de brigade.
La vie dans une brigade de 30 personnes en zone périurbaine sera radicalement différente de celle d’une brigade à 6 personnes en zone rurale. Il est toujours bon que le cb sache qui peut-être mobilisé ou non. De plus en période de covid il te faut une attestation de ton employeur pour rentrer chez toi donc ton cb sera forcement au courant…
Si tu n’est pas capable de travailler 10 jours d’affilés sans voir ta famille le métier de gendarme n’est peut-être pas fait pour toi.
Les fantasmes sur la vie en caserne sont nombreux, et force est de constater de pas mal de gens pensent qu’on doit demander autorisation pour tout. Rétablissons quelques vérités.
Les repos
Tu as deux jours de repos par semaine. C’est non négociable. Ces repos sont impérativement consécutifs, sauf cas exceptionnel si le service le nécessite. Dans ce cas, c’est uniquement à la demande du militaire, ou avec accord de celui-ci.
Pendant ces repos, tu as le droit d’aller absolument où tu veux, et tu n’as aucune obligation de te tenir disponible.
La « norme » est de compter 2 jours de repos par semaine, ces repos étant « mobiles » et donc pouvant changer de jour au gré des semaines et du service, et aussi par souci d’équité pour les personnels.
Il est possible de cumuler ces repos en effectuant 10 jours de travail consécutifs, et donc résultant en 4 jours de repos à la suite (possible ne signifiant pas que ça arrive souvent)
Les QL
Les QL sont attribués à raison de 10 demi-journées par tranche de 28 jours de travail.
Tu as droit de quitter la caserne, et même ta commune. Tu es libre de vaquer à tes occupations, comme en repos. La seule restriction est que, théoriquement, tu dois rester dans la zone géographique de ta garnison (généralement la même que l’escadron mobile du coin). En effet, en QL tu es rappelable, donc il faut normalement être disponible le plus rapidement possible (sans pour autant que ça nuise à ta vie privée).
Les permissions
Le militaire en permission est « en vacances ». Il peut donc faire ce que bon lui semble, et aller où il veut. Cependant, son statut lui impose quelques spécificités : la permission est posée via Aghora, et doit être validée par le commandement. Doit être précisé le lieu de résidence pour la durée de cette permission et les moyens de joindre le militaire en cas de nécéssité.
Les voyages à l’étranger sont autorisés, mais les différents pays sont répartis en plusieurs listes, selon leur contexte politique, social et sécuritaire, et selon la liste à laquelle ils appartiennent, le militaire doit déclarer son déplacement dans le pays, ou demander l’autorisation.
Le logement
Le militaire de la gendarmerie est logé par l’institution.
Le sous-officier et l’officier disposent d’un LCNAS, qu’ils sont tenus d’occuper lorsqu’ils sont de permanence. Hors permanences, le militaire peut se loger hors caserne, à ses frais.
Dans certains cas, le militaire est logé hors caserne par l’institution (par manque de LCNAS dans la caserne, ou autre cas). Dans ce cas, le logement est considéré comme CNAS.
Dans tous les cas, le militaire dispose de son LCNAS « en bon père de famille ».
Les gendarmes adjoints volontaires sont également logés. Leur logement n’est pas considéré au sens strict comme un LCNAS, mais comme un « local de service ». A l’usage, la règle du LCNAS est valable. Cependant, du fait que le logement est un local de service, le GAV est tenu à l’entretien de son logement, qui peut être visité par son commandement pour en vérifier l’état.
Le GAV peut recevoir des invités dans son logement, mais il doit en recevoir l’autorisation par son commandant de caserne. De même pour l’adoption d’un animal de compagnie.
J’ai fait simple, car d’autres choses se rajoutent, notamment dans la gestion des logements, mais ça n’est pas particulièrement pertinent ici.
Simplement, sachez que malgré le statut militaire, votre liberté de mouvement n’est pas vraiment restreinte.
Clair, net et précis
Est-ce que dans le cas d’un LCNAS pour un sous-officier, il doit régler l’EDF et l’eau ?
Je sais que pour un contrat internet c’est à la charge du GAV…enfin dans mon cas toujours.
