Je suis actuellement en école en formation GAV.
Nous arrivons à la fin de la formation et donc à la fameuse note dite « de gueule ».
Le problème c’est que j’ai des craintes concernant cette fameuse note.
Or j’ai aucune envie d’apprendre devant toute la compagnie, 7 jours avant la fin, que je suis éliminé.
Et n’avoir pas le temps de me retourner. Pour préparer mon retour à la vie civile.
Pensez-vous qu’il soit possible de demander au commandant de peloton ou au capitaine de la compagnie si on a une note eliminatoire afin de préparer son retour à la vie civile en ayant plus de temps ?
Je rajoute que j’ai des craintes non pas à cause de mon comportement mais à cause d’un petit groupe de mon peloton qui s’est amusé pendant toute la formation à me torpiller auprès de mon commandant de peloton.
Vous savez ce genre de peloton ou tout va bien dans le meilleur des mondes et que si qlqch ne va pas c’est toujours à cause de la même personne.
Pensez-vous que poser la question au capitaine de la Cie ou au commandant de peloton soit très mal vu ?
Bonsoir,
Alors honnêtement ne t’inquiète pas pour ça. En effet la note d’aptitude (note de gueule) est importante pour le classement mais tu n’auras jamais la note éliminatoire, c’est à dire moins de 6. Si c’était le cas ton commandant de peloton et de commandant de compagnie t’aurais déjà prévenue.
Au pire tu auras 11. Personnellement je n’ai vu personne sous la moyenne et même les champions de la bêtise.
C’est plutôt tes petits camarades qui devraient s’inquiéter…
Les cadres parlent entre eux.
Certaines personnes parlaient bien mal de leurs camarades dans ma promo GAV.
Sur le coup, les cadres laissaient parler. Mais à la fin, les langues de p*** ont eu des surprises sur leurs notes de gueule.
Je déterre ce sujet pour apporter mon expérience concernant la note de gueule.
C’est LITTÉRALEMENT une note de gueule qui ne devrait pas exister avec un tel coefficient… Les cadres ayant leurs chouchous, souvent pas les plus méritants, attribuent des notes qui font bouger les moyennes qui elles, reflètent pûrement le mérite de chacun.
Bon après peut-être que le problème venait de mes cadres qui n’étaient absolument jamais là après 17 heures 30 à la compagnie.
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