Tu l’as passer qaund ton entretien complémentaire !?
Je l’ai passer il y a une semaine exactement à Marseille
Salut !
Tu as passé ton entretien complémentaire après avoir passé ta vm et le mail te disant sur quelle liste tu es ?
Moi je l’est passer le 7 janvier, ce matin j’ai appelé la brce ont m’as dit que c Positif mais que je doit attendre le mail…du coup jc pas trop comment l’interpréter
Bah tout est dit , t’as réussi
Mais tu dois attendre que l’administration te l’indique pour que ce soit réellement effectif dans leur fichier
J’ai passer ma vm le 13 septembre et mon entretien le 23 mars 2021 je suis sur la liste 32 encore dans l’attente ça commence à faire long
Bonjour, bonsoir!
J’ai passé un entretien complémentaire le 31/03/2021 à rennes. Et je viens vous raconter comment ça c’est passé.
Convoqué par mail, on me demande de confirmer ma disponibilité et d’envoyer un CV a une adresse mail spécifique. Le matériel nécessaire à emporter est la carte d’identité et un crayon. Et un masque évidemment.
Sur place, nous étions 8 et il y avait 4 psychologues. Nous, candidats, étions rassemblés dans une pièce et une psy nous informait de comment ça allais se passer. D’abord une fiche remplis de traits de caractère à cocher sur soi-même. Qualités comme défauts, personne n’est parfait 
. Puis que nous allions être reçu par une psychologue avec environ 1h de passage, je dirais. Elle nous transmets également des informations importantes dont la réponse de cet entretien dans le mois suivant et dans 3mois l’école ( a partir de la date de l’entretien complémentaire et non de la réponse ). Et que les entretiens complémentaire se faisait de plus en plus voir à les systématiser.
Elle nous donne donc les feuilles avec les traits de caractère à cocher selon notre personnalité, environ 150 voir plus. J’ai dû en cocher 15 de mémoire. J’ai eu le malheur de cocher impatient. Ça m’as valu la chance de passer dernier… ça m’apprendra.
Longue attente du coup, je passe vers 16h ( convoqué à 13:30 ) puis une psychologue me reçoit dans son bureau. Elle commence par me demander de raconter mon parcours scolaire et professionnel en parlant des points forts de ma vie. Viens donc la question pourquoi la gendarmerie, avec des questions environnantes. Qu’est-ce que vous aimeriez faire dans la gendarmerie? Quel poste n’aimeriez vous pas faire? Quels sont les contraintes du métier? Et ses points positifs.
Après avoir répondu à ceci, elle me demande mes qualités et défauts ensuite nous revenons sur la feuille des traits de caractères. Nous parlons un peu de tout ce que j’ai cocher en expliquant pourquoi du comment. Donc compétiteur par exemple ou têtu. Elle me demande également quels sont des points que je pourrais améliorer chez moi.
Viens aux tests initiaux GAV où nous revenons à certaines questions comme « est-ce que le moindre soucis une source d’angoisse? » où on me demande d’expliquer mon choix de réponse ( qui était plutôt d’accord ). On reviens sur 2-3 questions comme cela.
J’ai pu apercevoir que les questions où l’ont revenait dessus était en rouge sur sa fiche.
Et s’était la fin. Je suis reparti chez moi avec le même espoir d’intégrer la gendarmerie. Y’a plus qu’a attendre de savoir si l’aventure continue.
Voilà voilà, si ça a pu vous donner des informations et éclairements, et si vous avez des questions je reste disponible!
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Bonjour, bonsoir!
J’ai passé un entretien complémentaire le 31/03/2021 à rennes. Et je viens vous raconter comment ça c’est passé.
Convoqué par mail, on me demande de confirmer ma disponibilité et d’envoyer un CV a une adresse mail spécifique. Le matériel nécessaire à emporter est la carte d’identité et un crayon. Et un masque évidemment.
Sur place, nous étions 8 et il y avait 4 psychologues. Nous, candidats, étions rassemblés dans une pièce et une psy nous informait de comment ça allais se passer. D’abord une fiche remplis de traits de caractère à cocher sur soi-même. Qualités comme défauts, personne n’est parfait . Puis que nous allions être reçu par une psychologue avec environ 1h de passage, je dirais. Elle nous transmets également des informations importantes dont la réponse de cet entretien dans le mois suivant et dans 3mois l’école ( a partir de la date de l’entretien complémentaire et non de la réponse ). Et que les entretiens complémentaire se faisait de plus en plus voir à les systématiser.
Elle nous donne donc les feuilles avec les traits de caractère à cocher selon notre personnalité, environ 150 voir plus. J’ai dû en cocher 15 de mémoire. J’ai eu le malheur de cocher impatient. Ça m’as valu la chance de passer dernier… ça m’apprendra.
Longue attente du coup, je passe vers 16h ( convoqué à 13:30 ) puis une psychologue me reçoit dans son bureau. Elle commence par me demander de raconter mon parcours scolaire et professionnel en parlant des points forts de ma vie. Viens donc la question pourquoi la gendarmerie, avec des questions environnantes. Qu’est-ce que vous aimeriez faire dans la gendarmerie? Quel poste n’aimeriez vous pas faire? Quels sont les contraintes du métier? Et ses points positifs.
Après avoir répondu à ceci, elle me demande mes qualités et défauts ensuite nous revenons sur la feuille des traits de caractères. Nous parlons un peu de tout ce que j’ai cocher en expliquant pourquoi du comment. Donc compétiteur par exemple ou têtu. Elle me demande également quels sont des points que je pourrais améliorer chez moi.
Viens aux tests initiaux GAV où nous revenons à certaines questions comme « est-ce que le moindre soucis une source d’angoisse? » où on me demande d’expliquer mon choix de réponse ( qui était plutôt d’accord ). On reviens sur 2-3 questions comme cela.
J’ai pu apercevoir que les questions où l’ont revenait dessus était en rouge sur sa fiche.
Et s’était la fin. Je suis reparti chez moi avec le même espoir d’intégrer la gendarmerie. Y’a plus qu’a attendre de savoir si l’aventure continue.
Voilà voilà, si ça a pu vous donner des informations et éclairements, et si vous avez des questions je reste disponible!
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Moi j’ai aussi passer l’entretien complémentaire mais en visio depuis Mayotte, j’ai donc pas eu l’affiche de traits de caractère, sinon c’était pareil.
Test passer le 10 Novembre à sathonay Camp, puis j’ai fait une demande de transfert , entretien le 7 janvier, réponse positive ya qlq jour mais par téléphone…j’ai pas reçu de mail…et attente de la VM
bonjour
mon fils aussi a reçu ce mail ce matin entretien complémentaire le 30 avril a marseille ca veut dire qu’il n’est pas pris? car pas eu de visite médicale encore?
qu’avez vous répondu du coup a la question seriez vous pret a tuer avec une arme a feu?
Il faut répondre ce que vous vous pensez, pas ce que untel aurait répondu, car de toute façon si on répond autre chose le ou la psychologue risque de s’en rendre compte.
J’ai également eu cette entretien et en 30min c’était fini elle ma même dit en sortant que pour elle c’était bon et que j’avais plus qu’à attendre le mail de la visite médicale.
Donc j’avais ma réponse en sortant puis le mail à confirmé que c’était positif.
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Ça ne veut pas dire que votre fils n’est pas pris.
Il est en mode « feu orange » et la gendarmerie veut s’assurer qu’il soit un bon élément en ayant l’avis d’un psychologue.
Concernant la question seriez-vous prêt à tuer avez une arme à feu, comme dit plus haut, c’est une réponse personnelle. Il faut juste simplement argumenter avec ses propres idées…
Super retex, c’est cool pour ceux qui vont passer après.
Personnellement j’ai eu mon entretien le 7 avril et il ne c’est pas vraiment passé comme le tiens.
En effet, je n’ai pas eu de feuille avec les adjectifs à cocher, la psy m’a directement fais asseoir, m’a expliqué comme toi que ce n’était pas elle qui aurait la décision finale et que le résultat pourrait prendre entre 1 et 3.
Puis après comme toi, elle m’a demandé de me présenter, parcours scolaires etc. Par le suite ce sont enchaînés pleins de questions sur ma vie perso, dans quelles brigade je voudrais rentrer et pourquoi, quels étaient les objectifs à long termes etc.
Enfin elle a fini par me demander mes qualités, mes défauts et les points sur les quels je pensais devoir m’améliorer.
Et hop, à la fin d’une phrase au milieu de cette discussion intéressante, à la quelle il suffit juste d’être naturel, de réfléchir un peu et de dire ce qu’on a sur le cœur. Elle me dit que c’est fini je peux y aller.
La fin un peu soudaine m’avais laissé un peu perplexe. Je ne savais pas trop quoi en penser, mais je me suis dis que dans tous les cas, j’avais dis ce que j’avais à dire, j’avais été honnête et que si ça ne passait pas c’était alors que ma personnalité n’irais pas avec le boulot de gendarme.
Au final, 2 semaines plus tard je reçois le mail qui me convoque à la visite médical le 4 mai, on verra ce que ça donnera, mais ça devrait le faire normalement ^^
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Bonjour j’avais une question enfaite j’ai passé mon entretien complémentaire mais il me semble que on m’a pas donné une feuille sur le quelle je doit cocher des trait de personnalité
Peut-être que quelqu’un pourra m’aider ici. Je repasse mon entretien complémentaire GAV avec la psy mercredi pro.
Je voulais savoir si je devais lui parler du fait que j’ai déjà raté l’année d’avant( après entretien complémentaire) ?
Et si je tombe sur la même psy quelle attitude je devrais prendre avec elle ( faire comme si je ne l’avais jamais vu ? ou au contraire lui dire que c’était déjà elle l’année dernière?) Merci 
Si tu l’as raté une première fois, je pense que la psychologue sera au courant, donc inutile de lui cacher mais inutile aussi d’en parler si elle n’amorce pas le sujet (je pense).
Ensuite, si c’est la même psychologue (ou pas), il n’y a aucune attitude à adopter, tu dois être au plus naturel possible.
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Bonjour,
J’ai pu constater qu’il existe de nombreux sujets relatant les différentes expériences au sujet des entretiens complémentaires ; mais très peu visant les anciens A.D.S.
C’est pourquoi, je me suis dit qu’il serait peut être intéressant que j’apporte mon témoignage puisque je suis passée par-là lors de ma candidature pour devenir Gendarme Adjoint Volontaire - statut encore en cours, en attente de la visite médicale. -
En effet, j’ai postulé ma candidature pour devenir G.A.V mi-juillet et j’ai été très rapidement reçue en entretien par mon chargé de recrutement.
Pour ma part, je n’avais pas préparé cet entretien, il était question pour moi de prendre attache pour obtenir différents renseignements sur le poste pour lequel j’avais postulé et de pouvoir poser mes questions.
Je suis arrivée en avance, environ une demi-heure, comme je ne connaissais pas encore très bien ma région en ayant déménagée récemment. Cela a été apprécié, car le gendarme étant arrivé environ au même moment que moi, a pu avancer l’entretien.
Beaucoup de questions sur ma vie personnelle, sur mon parcours de police, mes motivations ; rien de bien compliqué. J’ai été très honnête sur les sujets demandés. À la fin de mon entretien mon chargé de recrutement a essayé de me placer sur une liste de participation aux épreuves le plus rapidement possible dans le mois de juillet mais malheureusement les sessions étant complètes j’ai dû attendre le 01 août avant de pouvoir passer mes épreuves écrites.
Merci encore de son appel, car c’est sûrement grâce à celui-ci que j’ai pu passer mon épreuve le plus tôt possible.
Je ne rentre pas dans les détails puisqu’il y a sur internet et même sur ce site beaucoup de retour d’expériences concernant ce ladite entretien et les épreuves écrites qui, de mon côté, ont été en m’étant préparée un minimum.
Convocation pour un entretien complémentaire :
Tout d’abord, je savais qu’il y avait des chances pour que je sois convoquée en entretien complémentaire puisque mon chargé de recrutement m’avait expliqué que souvent cela était demandé quand des militaires, anciens G.A.V (qui souhaitent revenir dans l’institution) et même A.D.S se présentent aux épreuves.
Je n’étais pas spécialement surprise, si ce n’est de la réponse rapide car j’ai reçu la convocation pour le 25 août - à la Maisons-Alfort - le 11 août.
Toutefois, il existe d’autres justifications possibles qui mènent à cet entretien, me concernant je pense que le mélange de mon inventaire de personnalité et mon passif ont dû fortement y jouer.
J’arrive en avance, je suis rapidement prise en charge et on me demande de patienter puisqu’on viendra ma récupérer le temps venu. J’avais 30 minutes, alors j’ai prévenu mon compagnon que j’étais sur place et que j’éteignais mon téléphone pour me concentrer sur l’entretien qui allait arriver - ce que je fais toujours lorsque je passe des tests, cela me permet de me centrer en me coupant de toute distraction.
L’heure est arrivée, je suis prise en charge par le psychologue. Le début est un peu bateau, il me demande de me présenter tout en regardant mon C.V que j’avais, au préalable, donné et d’explique ce qui m’amène à postuler dans la gendarmerie au poste de Adjoint Volontaire.
Je tiens à préciser que je n’avais rien préparé, vraiment, cet entretien je l’ai abordé avec la plus grande tranquillité que je puisse faire preuve devant un test qui me tient à cœur.
On va rentrer dans le vif du sujet, les questions vont très très vite s’orienter vers mon passif de Adjointe de Sécurité en Police Secours de Nuit (PSN) dans le 34. J’ai effectué la quasi totalité de mon contrat dans ce service - par choix, j’ai adoré le rythme de nuit - avant de démissionner pour retourner dans le civil. J’avais réussi mon concours Île de France mais j’ai choisi de prendre un poste de vendeuse polyvalente dans une épicerie (de famille).
Je suis rentrée alors que j’avais tout juste 18 ans, je suis née fin août et il fallait avoir la majorité pour la rentrée en école qui avait eu lieu le 01 septembre 2015 (j’ai fait Cadet de la République, ce qui revient à la scolarité de A.D.S sur 12 mois au lieu de 3). J’avais tenté le G.A.V mais je n’ai pas passé l’écrit alors que j’avais réussi A.D.S, alors j’ai choisi d’y rentrer même si ma vocation a toujours été la gendarmerie.
Cela, c’est pour contextualiser mon parcours.
Si je fais ce retour d’expérience, c’est aussi pour inciter les personnes qui peuvent avoir le même parcours ou un parcours similaire à être juste honnêtes. Sur vous même, votre parcours, vos erreurs, tout.
- « … Pourquoi avoir quitté la police ? »
De mon côté, comme je l’ai dit, je suis rentrée jeune. Je n’avais connu rien d’autre, lorsque j’ai réussi le concours de Gardien j’ai eu une grosse période de doute. Je savais que je partais minimum pour sept ans dans une région de Île de France et une fois engagée, le retour en arrière n’existe pas chez moi. Soit j’y vais, soit je n’y vais pas. Si je doute, c’est qu’il y a quelque chose et dans ce cas-là il faut bien réfléchir.
À ce moment là, j’ai eu une proposition d’emploi de la part de mon beau-père et j’ai choisi d’aller voir le côté civil. Vendeuse polyvalente me permettait, aussi, de travailler le côté discret de ma personnalité puisque je gérais l’épicerie seule - donc j’étais en contact en permanence avec la clientèle.
Cela a été un très bon enseignement. Je ne regrette pas. J’ai dû apprendre à gérer, à avoir de grandes responsabilités, puisque mon rôle s’étendait plus qu’à la mise en rayon.
Mais il me manquait quelque chose.
Cette adrénaline.
J’ai connu beaucoup d’interventions, toutes différentes. Et cette adrénaline… Elle est atypique, on ne la retrouve difficilement ailleurs - encore moins dans les métiers civils. Plus le temps passé, plus ma personnalité discrète devenait plus affirmée, plus cela me manquait. J’avais cet appel.
- « Alors, pourquoi la gendarmerie ? »
Je ne regrette nullement mon expérience en police, celle-ci m’a fait gagner en maturité. En maturité émotionnelle (sur la capacité à gérer ses émotions), professionnelle (comprendre que tout ne peut pas être blanc, à être rigoureuse, attentive, dans l’évolution permanente) et surtout ; j’ai énormément appris sur moi-même.
Sauf que mon objectif, cet appel, ce hurlement, a toujours été la gendarmerie. Je prévois de passer le sous officier dès mars 2023 mais en attendant je souhaite mettre à disposition toute cette flamme au sein de cette institution.
Je recherche à bousculer ma zone de confort, à davantage me discipliner, à aller dans le don de soi… Pour moi, la gendarmerie est clairement différenciée par cela vis à vis de la Police.
En clair, j’ai été très honnête. J’ai avoué avoir une période de doute, que j’avais tiré avantage de mon arrêt de l’uniforme, que j’avais choisi quand même un domaine pour améliorer ma personnalité, que je voulais revenir parce que maintenant je suis plus mature, plus sûre, plus affirmée.
Ne cherchez pas à jouer un rôle.
Ensuite j’ai eu beaucoup de questions comme ;
« … Avez vous des interventions qui vous ont marquée ? » Oui, n’hésitez pas à raconter pourquoi. Pour ma part, c’était un appel de notre C.I.C pour nous orienter vers un mec qui se promenait nu dans la rue. On arrive sur place, il est question d’une tentative d’homicide volontaire (le mec a été planté au couteau par le mari de la femme, il cherchait à se réfugier dans une pharmacie). Cela démontre que l’on part parfois pour une intervention précise, mais il s’avère qu’elle est totalement différente de l’appel initial. C’est cela qui est bien, il y a très peu de routine.
N’hésitez pas à rentrer dans les détails, du pourquoi. La conversation n’est pas à sens unique, mais le fait que vous parliez démontre aussi que vous êtes à l’aise.
- « Quelle intervention est plus difficile à vivre pour moi ? »
Cela reste propre à chacun, de mon côté j’ai parlé des accidents mortels impliquant la famille sur place. Ce n’est pas tant l’accident par lui-même - ni même les dégâts et croyez moi, j’en ai vu des pas beaux - mais le fait de devoir gérer la famille tout en conservant les priorités d’intervention. C’est émotionnellement lourd.
Je vais lister le reste car je suis partie pour faire 10 pages sinon. Désolée pour la lecture. 
« Avez-vous déjà eu des conflits avec vos collègues ? »
« Avez-vous déjà été hanté par une intervention ? »
« Que faîtes vous quand vous êtes face à intervention difficile ? »
« Que pensez-vous du travail à plusieurs ? »
« Pas d’appréhension concernant l’arme, j’imagine ? »
« Qu’attendez vous de la gendarmerie que vous n’avez pas trouvé en Police ? »
… Et d’autres qui ne me reviennent pas.
Il s’est également appuyé sur mon inventaire de personnalité. Je ne me souviens plus réellement de comment était le cas, je sais qu’il y en avait un concernant l’excès de colère.
Je l’ai déjà expérimenté quand un gardé à vue m’a craché sur le visage durant la période du COVID. J’ai avoué que je ne savais pas ce que je lui aurais fait, mais là j’ai vu rouge et c’est un collège qui m’a soustraite et m’a aidé à traverser cette phase. C’est tout l’intérêt du travail en équipe. Et à partir de là, j’ai vraiment appris à canaliser mes émotions puisque de toute façon dans l’uniforme on en rencontre de bonnes comme des mauvaises. C’était la seule fois.
J’ai beaucoup de scepticisme quand je lis ou entend qu’un ancien policier - ADS ou Gardien - se retrouve forcément désavantagé par son parcours pro, ou par le fait qu’il a été policier, ou parce que les « gendarmes et les policiers ne s’aiment pas ».
Alors du coup j’espère que mon retour d’expérience en démontre le contraire (même si c’est pour G.A.V et non Sous Off), j’ai un parcours professionnel un peu atypique (quitter la police, une période dans le civil, revenir vers la gendarmerie), il suffit juste de savoir pourquoi vous avez fait cela, l’expliquer, être honnête envers soi et envers le psychologue.
J’ai reçu la réponse de mon entretien positive début septembre et le jour même j’ai reçu un appel téléphonique pour établir une date de visite médicale (le 8 septembre pour le coup).
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Hello j’aimerais bien des détails sur l’entretien complémentaire !!
bonsoir, Apres combien de temps avez-vous eu les resultat?
cdt matheo
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