Bientôt la fin des GAV ?

Qu’il fasse bien son boulot de GAV n’empêche pas qu’il est un profil, éventuellement psychologique, qui ne corresponde pas à ce qui est recherché/attendu pour un sous officier.
C’est justement pour cela que le psychologue est systématique pour les SOG et non pour les GAV.
La mal traitance qu’il a subi peut être un élément de réponse. En sous officier il sera chef de patrouille, parfois avec des GAV inexpérimentés.
S’il intervient demain, seul avec un GAV, sur des violences intrafamiliales (ce qui est notre quotidien), son discernement pourrait être altéré. J’imagine que le psychologue peut penser cela.

Un « bon GAV » ne fera pas forcément un bon sous officier.

La gendarmerie, si les psy estiment que le profil n’est pas suffisamment stable, ne prendra pas le risque…

Enfin, si la note est éliminatoire sur l’oral/psy, il y a peu de chance que ça vienne du jury, surtout trois fois d’affilé… c’est très probablement et quasi certain que c’est le psy.
Le psy perçoit aussi des choses, ou ton copain s’est peut être confié sur des choses, que son entourage ne sait pas forcément.

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Merci pour ce message constructif. Peut-être effectivement que c’est le cas j’ai discuté avec son chef pour lui c’est plutôt l’oral. Il a tendance à bégayer et à manquer d’assurance devant des jurys et selon lui c’est ça qui pêche chez lui avec un manque de dynamisme. Il va s’entraîner avec une personne qui fait passer les entretiens alors on verra ! Mais en 2ans il a déjà du gérer et accompagné son adjudant sur des violences familiales j’en ai discuté avec son adjudant et aucun souci en terme de réaction ou de professionnalisme alors je ne sais pas.

Ce que je veux dire par là c’est que le jury et le psy ne savent pas comment il se comporte sur ce type d’intervention. Ses camarades du quotidien oui mais le jury et le psy, non!

L’essentiel est, s’il souhaite retenter, de n’avoir aucun regret. Bonne continuation à lui/vous